VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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so, the hemingway bros are in da house [PM]
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Mar 3 Jan - 6:07.
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STATUT DU SUJET : privé
NOM DES PARTICIPANTS : abel & eric hemingway
DATE : début du mois de mai
HEURE : 10h du matin
METEO : un soleil radieux, la température reste assez fraîche
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 009 ; la vengeance
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 008 ; la libération
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : on va se passer de toi mon domdom



Dernière édition par Eric J. Hemingway le Mar 3 Jan - 6:16, édité 1 fois
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Message Posté Mar 3 Jan - 6:09.
      La nouvelle était parvenue jusqu'à tes oreilles. Tous s'en doutait, la Troisième Tâche avait lieu à BeauxBâtons. Tu étais particulièrement excité. La nouvelle en elle-même était excitante, il y avait aussi le fait que certaines explications avaient vu le jour, et tu t'en étais abreuvé afin d'assouvir tes plus puissantes âffres. Dürmstrang avait été coupé du monde durant le mois d'avril, l'Organisation en était la responsable. Toi qui avais d'abord cru que ton frère déterrait ses vieilles rancunes de toi et Marie, ton soulagement fut titanesque. Tu envisageais mal Abel te bouder, tu ne le voyais pas pincer les lèvres lorsqu'il pensait à toi. Aujourd'hui, tu sais ces présomptions mauvaises.

      Dans ton dortoir, tu fais les cent pas, impatient que le bâteau de l'institut russe immerge enfin des profondeurs des eaux glacées. Ton frère t'avais parlé de ce moyen de transport sombre et féerique, à la fois. Tu étais habitué à la subtilité et à la beauté des créatures ailés. Le bateau en lui-même était orné d'un drapeau noir et semblait réellement immerger de l'eau, telle l'abîme la plus ancestrale. Mais Abel n'apparaissait jamais mouillé, ni ses bagages. C'était une magie, tu le savais bien, mais une magie supérieure à toutes celles que tes professeurs t'avaient apprises à BeauxBâtons, et sans doute bien plus supérieure à la magie noire que ton frère apprenait à Dürmstrang. Ton coeur battait à tout rompre. Tu avais hâte, la nervosité accélérait encore ton coeur. Tu avais envie d'aller voir Marie afin qu'elle te donne un câlin. Qu'elle te murmure tu-ne-sais quoi de rassurant ou juste qu'elle te dise qu'elle était trop occupée pour te parler. Un peu comme d'habitude. Comme d'habitude depuis quelques semaines. Depuis avril, à bien y songer. Tu préfères tasser Marie de ton esprit, surtout avec l'arrivée d'Abel en France.

      Tu fais un demi-tour sur toi-même. Demi-tour fort utile puisque tu considères le bazar qu'est ton lit, ta commode et ton armoire à linge. Et ta table de chevet. Table où trône en roi noble ton dorico Pablo. Tu le brimes pour cette pagaille, même si tu es au courant de ton incapacité à entretenir ton coin de chez-toi. Pablo n'est pas celui que l'on doit cautionner, tu l'es. Tu ramasses un chandail et l'hûme. Crispant ton visage d'une bouille de dégoût, tu lances ledit morceau de vêtement plus loin, vers le lit de Cygnus, présumes-tu. Tu refais ton lit, refermes tes tiroirs en poussant sur les boules de tissus qui s'y trouve, soit ton uniforme en plusieurs exemplaires. Parce que c'est congé de cours, tu peux t'habiller comme bon te sembles. Et tu soupires. Tu as écouler le temps à son maximum. Tu sortirais bien ton habit de femme de ménage pour aller récurer le parquet, mais tu n'en as pas. Tes devoirs vont attendre. Demain soir, dans la nuit, entre quelques unes de tes lettres, sans doute, perché à ton aise contre la fenêtre, mélangeant astronomie et soins aux créatures magiques et Gabriel et John. Tu resserres ta cravate faussement bien noué, merci à l'inventeur des velcros.

      Tu finis par sortir de ta chambre et aller dans la salle commune. Tu ne sais pas comment prendre ton frère. Tu ne sais même pas de quoi il a l'air. Nonobstant le fait que tu as vécu ton enfance avec cet être cher, ce mois qui vous a séparé a pu le changer, tu en es conscient. Tout est siphonné hors de ton esprit ; Nirvana, Pablo, Marie, les deux parchemins de français que tu dois rédigé pour un échéance quelconque ; tu veux voir ton frère et ... Tu ne sais pas, tu es anxieux. D'une anxiété qui ne t'a jamais connue. Tu repousses d'un léger coup de paume de main un Zeus qui veut copier ta rédaction sur un soin spécifique à un animal. Tu sors un « Abel beuhbahbuhh ... » et tu continues de marmonner en quittant la salle commune. Tu empruntes maints couloirs et te diriges vers l'entrée de l'institut. Ne remarquant rien à l'horizon tu retournes dans ta chambre t'affaler sur ton lit. Pablo hulule, jappe, miaule, qu'en sais-tu ? Tout ça pour te relever brusquement sur ton séant, et découvrir sur le seuil de la porte, ton frère Abel.

      « Ha-allo... Tu es pas si moche, tout compte fait. Et ... heu ... tu es déjà là ? C'était pas dans l'après-midi, que tu devais arriver ? Non, je ne dis rien. Halbkgjeg... »

      Il fait noir d'un coup, t'entends-tu songer. Et le sol est mou, divagues-tu, comme un lit. Et, et, ce n'est pas ta chambre, c'est beaucoup trop sombre, chuchotes-tu.
      Tu t'es évanouis. Et voilà, une bavure de plus à ta liste !


    Dernière édition par Eric J. Hemingway le Mer 11 Juil - 1:23, édité 1 fois
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    Message Posté Dim 15 Jan - 15:28.
    Fatigue. Son voyage jusqu'en France s'était déroulé comme il l'avait imaginé... Déroutant et fatiguant à la fois. Ses yeux se fermaient lamentablement tandis qu'il foulait pour la première fois l'herbe d'un vert parfait des jardins de l'académie. Ici, tout n'était que beauté et cela le perturbait grandement en vue de ses longues heures passées dans le parc de Durmstrang. Au moins, là-bas, Abel n'avait pas de concurrence, dans ce lieu où tout est pourriture et détérioration. À croire que ses parents avaient d'ores déjà classés leurs enfants dans un ordre de préférences lorsqu'ils eurent à décider de l'école où ils devaient les envoyer pour surveiller leurs grognasses de descendantes de Voldemort. À en croire par celle où Abel avait été envoyé, nous pouvons considérer qu'il était placé en bon dernier dans l'estime de ses chers géniteurs. Pas étonnant. Son cœur se serra lorsque l'image d'Eric traversa ses pensées. Il avait tenté de refouler le fait qu'une confrontation allait être obligatoire lorsqu'il arriverait à Beauxbâtons, en vain. Sachant pertinemment qu'il serait vexé suite à l'absence de réponses aux lettres qu'il lui avait envoyées, Abel redoutait de le voir. Autant pour cela que pour tout ce qu'il lui avait avoué lors de leurs précédentes correspondances. Exposer ses faiblesses avait probablement été une erreur. Une regrettable erreur. Même s'il ne disposait pas forcément d'un esprit familial hors pair, Hemingway n'en restait pas moins protecteur envers ses frères, mais s'il fallait avouer que parfois, ceux-ci étaient bien plus raisonnables que lui. C'était justement cette facette de sa personnalité qu'il avait montrée à Eric. Le Abel maladroit, le Abel irresponsable... Oui, le garçon avait peur d'avoir changé aux yeux de son cadet. Déjà qu'il ne devait pas être placé très haut dans son estime...

    Respirant une dernière fois l'air français, Abel entra finalement dans l'Académie, plein d'appréhension et le coeur battant à une vitesse fulgurante. Il savait qu'à présent, il pouvait croiser partout où il mettrait les pieds, chose qui n'était absolument pas rassurante. L'homme croisa un petit groupe d'élèves auquel il demanda le chemin pour se rendre aux dortoirs. Rejoindre un lit était la seule chose qui lui permettait de tenir debout à présent. Une charmante blonde lui proposa de l'y accompagner, ce qui fit sourire Abel qui remarquait que l'académie regorgeait de charmantes créatures. Il devrait certainement envisager un transfère... À Durmstrang, à part des têtes à claques et des demoiselles pas franchement fréquentables, il n'y avait pas énormément de choix... Ici, c'était comme s'il l'on se retrouvait au milieu d'un magasin de friandises. On avait envie de tout. Secouant sa tête pour chasser ces idées malsaines, Hemingway pensa à Sacha. Il devrait probablement envisager à cesser d'avoir ce genre d'attitude, ne serais-ce que par respect pour elle... Mais toute personne sensée comprendrait à quel point c'était difficile...

    Abel s'était imaginé que la blonde le laisserait juste devant le bâtiment, mais étonnement, elle le guide à l'intérieur et semblait savoir exactement où l’emmener. Il arqua un sourcil, mais ne se posa pas de question, souhaitant simplement disposer d'un lit moelleux sur lequel oublier toutes ces pensées perturbantes. Elle lui indiqua un dortoir en particulier et tout en lui faisant un clin d’œil inquisiteur, il s'avança lentement, prononçant un dernier « merci » à la demoiselle qui sonnait plutôt comme un « à plus tard ». Un sourire de soulagement accompagné d'un léger soupire virent briser le silence de la pièce. L'homme se retourna légèrement et remarqua un charmant désordre sur le lit qui lui faisait face. Une bestiole d'une laideur sans pareille fit sursauter Abel qui sondait les vêtements jonchant le sol. Il mit quelques secondes à identifier cet étrange dorico qui faisait un vacarme désagréable puis il tenta de le chasser, continuant sa contemplation. Au moins, le propriétaire de ce bazar ambulant avait bon goût.

    Une voix le fit sursauter de nouveau. Il se retourna violemment, souhaitant voir qui venait le déranger. Hemingway fit un pas en arrière en apercevant son visage. Éberlué, il n'avait réussi à prononcer ne serais-ce qu'un seul mot, laissant le gamin combler ce blanc seul. Il semblait tout aussi étonné que lui, à vrai dire, alignant des mots incompréhensibles pour former des phrases d'autant plus dénuées de sens. Puis il tombe. Abel resta tout d'abord planté devant le corps inerte de l'imbécile, encore pétrifié par le choc de cette rencontre imprévue. Prenant quelques secondes pour se convaincre qu'il ne fallait pas le laisser avachis comme cela, le garçon commença à se diriger vers le brun, lentement néanmoins. Une fois assit près de lui, il commença à lui donner de grosses claques contre les joues et à le secouer dans tous les sens pour le réveiller. Alors, comme ça, il lui faisait autant d'effet ? C'était intéressant à savoir. Il saurait comment le ridiculiser à présent. Il secoua la tête pour chasser cette cruelle idée de son esprit puis s'était encore plus près du garçon en attendant qu'il reprenne connaissance. Abel souleva l'imbécile par les épaules et déposa sa tête contre ses genoux. Une nouvelle claque, parce qu'il ne fallait tout de même pas jouer avec sa patience.

      « Réveille-toi, abruti. »


    C'était qu'il prenait son temps, le Eric.
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    Message Posté Mar 17 Jan - 2:27.
        Cette noirceur mystérieuse qui obstrue ta vision taraude ton esprit. Tu ressens un coup sur ton visage, et deux ; des claques cinglantes qui te réveillent pourtant dans ton inconscience, mais tes yeux refusent de s'ouvrir. Tu grommèles entre tes dents, il te semble que ce sommeil t'appartiens et nul n'a l'autorisation signé et scellé du sceau Hemingway pour t'en désempêtrer. Ta tête repose sur quelque chose de plus dure, cette fois. Tu ne veux pas ouvrir les yeux. Les gifles pourtant, s'obstinent plus que toi que tu finis par bondir hors de ta torpeur, pour pousser l'homme qui te frappe en bas du lit. Au lieu de l'étrangler de toute ta force, tu le chatouilles. Bah quoi, chacun sa torture, et toi, ta prédilection penche pour le faire mourir de rire pour les rougeurs dont sont empourprés tes joues. Tes doigts s'enfoncent dans le peu de gras de ton frère. Tu le sais bien, que c'est lui. Tu ne t'es pas évanoui. Non, non, tu ne te l'avoues guère, tu as fais un détour vers Morphée, et puis un autre pour venger les coups que le Mokop t'a infligé, et c'est tout. Tu te relèves et brandis une main grande ouverte vers Abel encore assis sur le sol, reprenant son souffle, en vue de l'aider à se relever. Tu crus entendre un juron ou un mécontentement. Abel n'aime probablement pas le fait d'être aider, comme une vieille, comme une flétrie, et par toi en plus, son petit frère.

        « Alors, grand-maman ? Le voyage a pas trop été éprouvant ? »

        Tu lui souris.
        Il devrait changer d'air. Il te parait inhospitalier et il te parait blanc comme drap. Pourquoi te regarde-t-il avec frayeur ?

        Tu fais quelques pas vers la fenêtre où un coussin y est posé, ramollis par l'usage et décoloré par le passage quotidien du soleil au travers de ladite fenêtre, et dérobe un paquet de lettre relié d'un cordon fin. Tu lances le paquet et le rattrape de ta seconde main, avant de présenter les lettres à ton frère. Tu oses croire qu'il n'a pas estimé que tu t'arrêterais pour peu qu'il ne répondait pas et que tes lettres te revenaient toujours une semaine ou deux plus tard. Tu le dévisages, parce qu'il n'a pas le droit d'imaginer que tu t'arrêtes d'écrire un seul instant.

        « Tiens, ça te fera de la lecture pour le voyage du retour. Ça contient pas mal ce que j'ai vécu ici ces quatre dernières semaines. Je présume que ça n'a pas du être facile de ton côté aussi, avec cette pétas-... Cette Daphné. »

        Tu tentes d'être adulte, afin de rendre fier comme un paon ton frère. Mais en toi, titille l'envie de le rabattre au sol et de le chatouiller encore. Il t'a manqué, vos batailles juvéniles t'ont manqué. Comme il est bon de lui parler, même si tes paroles te paraissent feintes, cependant, pas en tout point. Tu es sincère, mais tu ne te libères pas complètement à lui, tu te retiens, craignant sans doute que les mois, et particulièrement le mois dernier, t'aient forgés en une tout autre personne, en un autre Eric que les souvenirs d'Abel se remémorent de toi. Tu prends les devants, marchant tout près d'Abel, le dépassant et te dirigeant vers la porte.

        « Tu viens faire un tour ? Je sais que l'Académie regorge d'activité et que tu dois être épuiser, mais comme Pablo ... Enfin, puisque tu ne l'aimes pas beaucoup, il serait peut-être plus sage d'aller se balader plus loin, ne penses-tu pas ? »

        Et autre chose pour le faire grimacer. Pourquoi ne pas l'obliger à s'enliguer de part et d'autres de décors floraux de France, loin de tout, à la suggestion de son frère, pour un simple et stupide oiseau ? Tu te maudis silencieusement et intérieurement ; doh, mais quelle idée ? Tu n'attends pas de réponse et finis par le pousser hors de la chambre, refermant la porte derrière toi, sur ce dorico pathétique qui provoque déjà des représailles entre toi et ton frère.

        Tu t'arrêtes dans le couloir. De façon sèche, et tu sens ton frère te heurter de sa peu de conviction à te suivre. Tu te retournes, et souris bêtement, pour la seconde fois si non, la troisième.

        « Heu ... Bah il pleut. Hi. Demi-tour. »

        Déposant une serviette sur ton dorico dans sa cage, tu te retournes vers ton frère, te sentant terriblement imbécile, voulant cacher ton tas de linge sale, tes devoirs dégoulinants d'encre, la beuglante de ta mère qui a eue ouïe dire de ta dispute avec Marie ; toutes ces choses qui te ridiculisent, alors que tu souhaites paraître comme un gantelet de cuir, reluisant, noir, sans imperfection visible. Tu tires une chaise sur laquelle tu prends place, faisant signe à ton frère de poser son popotin sur ton lit. Ce lit, qui en en abordant le sujet, ne ressemble qu'à un monticule de tissus aux couleurs des uniformes de BeauxBâtons. Tu repasseras pour la qualité de ton dortoir, hein.

        « Alors, quoi de neuf ? Serafima se porte bien ? »

        Ta voix pousses un son aigu comme tu articules le « ien » de « bien ». Une autre erreur. Fatal error, tel l'anglophone en toi te beugle. Autant lui parler de Marie et de son attitude furibonde, ou bien des soeurs disséminés un peu partout en Europe et en Angleterre. Juste ça, cette prophétie qu'il déteste, que tu détestes parce qu'il déteste.
        Tu n'as aucun itinéraire pour t'occuper de ton frère, puisque tu te sens de l'occuper. Tu n'as pas le choix, tu cherches à démontrer ta force d'esprit et ton côté responsable. Toutes ces choses cachées sous la saleté et la poussière, peut-être, ou juste derrière ce masque de fausse joie d'être en ces murs pour aimer Marie. Pas que de voir ton frère ne te rend pas heureux. Non. Il exalte en toi tes préoccupations, ce qui t'attriste. Un nouveau sourire, puis tu fixes le tapis.
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