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Si l’on veut mourir, il faut d’abord vivre. - Jezabel
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Dim 7 Aoû - 20:09.
Si l’on veut mourir, il faut d’abord vivre.




STATUT DU SUJET : Mission
NOM DES PARTICIPANTS : JEZABEL E. SETTON
DATE : MOIS DE MARS, UNE JOURNÉE ENTRE LE PREMIER ET LE 31.
HEURE : DÉBUT D’APRÈS-MIDI
METEO : JOURNÉE CHAUDE, L’AIR ÉTOUFFANTE AVEC UN SOLEIL RAYONNANT.
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE GLOBALE EN COURS : 07
NUMERO ET TITRE DE L'INTRIGUE DU FORUM EN COURS : 06.
INTERVENTION DE DOMINUS TENEBRAE : OH NE VOUS GÊNEZ PAS MON CHER.

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Message Posté Dim 7 Aoû - 20:12.
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L’air chaud du mois de mars rendait le temps étouffant. Le soleil brillait, mais je n’avais aucune envie de m’y attarder plus longtemps. D’autre chose me préoccupait, le beau temps passait bien loin en dessous dans mes priorités. L’école semblait s’étouffer dans les cendres de ses propres flammes. Irrévocablement désuet, l’école souffrait, mourrait sous l’accumulation des choses qui se passait tout en même temps. L’arrivée des dieux, la disparition de la championne et puis l’organisation qui faisait rage dans l’antre du château, personne ne savait plus où donner de la tête. Donc, pas besoin de s’inquiéter si vous aviez l’impression que plus rien n’était sous votre contrôle, car tout le monde avait cette impression, ou plutôt avait se fait. Personne ne réussissait à prendre en main la situation, c’était comme attraper la fumer à main nues. Impossible. Je voulais juste m’enfuir, oublier ma vie et le climat de tentions qui régnaient dans le château. On ne peut pas vivre éternellement en se faisant croire que rien ne vous touches, que vous êtes totalement invincible. Qu’en regardant ces gens se battre à votre place, vous ne ressentiez rien. Lâche, impuissante, hypocrite… J’avais l’impression d’être personne. Moi qui aurais tout fait pour défendre ma cause, je regardais les scènes se faire sans réagir. Dans un sens, je me comprenais, à quoi bon intervenir si cela ne vous avance à rien ? Si vous-même n’y gagner rien, il ne vaut mieux pas y aller. Normal comme réaction, mais pourquoi me sentais-je aussi nul ? Je m’étais écouté, je n’avais pas aidé, non je m’étais enfuie. J’avais beau courir, ne sentant plus mes jambes sous moi, rien n’y faisais. Mon esprit continuait à me repasser les mêmes images. Ces gens en masques débarquant chez-nous, en tentant de tout détruire. Pourquoi ? Pourquoi cela arrivait-il à nous ? J’oubliais où mes pieds me menaient, je voulais tout oublier. Je n’avais pas prêté attention aux couloirs que j’empruntais, au tournant que j’utilisais. Je ne faisais que m’enfuir, courir pour oublier, pour m’évader et surtout, pour être enfin seul. J’avais beau chercher l’attention comme un poisson recherchait l’eau, j’avais moi aussi besoin de solitude. Pouvoir enfin réfléchir sans avoir le bruit incessant des voix qui jacassaient autour de moi, comme des moustiques qui vous suivaient nuit et jour. La paix, tout simplement. C’est au moment où je me retrouvais devant la porte que je réalisai enfin que j’avais oublié où je voulais aller. Je ne m’aurais pas qualifié comme perdu mais… presque. Je savais bien que j’avais déjà visité cet endroit seulement, c’était bien loin dans mes souvenirs. Moi qui ne faisais jamais de peinture ou toute autre forme d’art, je n’avais jamais pris le temps de venir ici. Ça ne m’intéressait aucunement de venir perdre mon temps à gribouiller des toiles vierge, ou encore poser pour des élèves voyeurs… Non vraiment ce n’était pas pour moi. J’entendis des voix au loin… Des pas passèrent puis plus rien, le silence retomba sur moi me faisant réaliser à quel point personne ne venait jamais ici. On passait sans jamais s’arrêter, sans jamais prendre le temps d’entrée dans cette pièce ou les chevalets s’élevaient ici et par là dans un désordre impressionnant. Comment une salle déserte pouvait être aussi désordonnée ? Comment pouvons vivre ainsi dans un tel chaos ?
Je regardais autour de moi, cherchant quelque chose à faire ou une raison de plus pour partir d’ici, mais le couloir désert ne m’apporta aucune réponse. Des murs nus, un plancher lise et uniforme… rien qui pouvait vous aider. Bof vraiment, c’était quoi cette journée pourrie ? Sans rien attendre, j’entrai dans cette pièce d’un pas lent regardant autour de moi d’un ai méfiant. Et si une peinture décidait de m’attaquer, je faisais quoi moi ? Je n’avais jamais eu confiance aux artistes, trop… artistique ! Donc tout ce qui sortait de leur main pouvait être potentiellement dangereux ! Les tableaux qui parlent, vous en dit quoi en ? C’est pas vivant ces choses-là ! En plus il faut qu’ils mettent des peintures partout dans les écoles, vous êtes fous, c’est des bêtes assoiffé de sang ces choses-là ! Cette pièce devait surement être l’âtre du mal, où l’on façonnait ses bêtes abominables qui résidaient dans les peintures. Ou peut-être que ce n’était que des peintures après tout… Vaux mieux se méfier si on ne sait pas où réside leur cerveaux. Quoi que j’en avais déjà croisé que ce n’était pas leur cerveau qui les contrôlait mais… un organe un peu plus bas que la tête. Avec eux aussi, vaux mieux se méfier. Mieux prévenir que guérir, comme on disait si bien.

Je m’arrêtai au milieu de la pièce, la regardant ne sachant pas quoi faire. Pourquoi étais-je parti ? J’étais lâche… oh si j’étais faible. C’est dans les pires moments que vous vous rendiez compte de vos véritables valeurs… moi j’avais l’impression que je n’avais rien. Je ne valais rien du tout… je n’étais personne. Mes mains se portaient à mes cheveux, les agrippant. Je n’en pouvais plus. Pourquoi est-ce que je ne pouvais jamais faire quelque chose pour une fois ? Mes jambes se mirent à trembler. Non, je devais rester debout, je devais être forte, être invincible. Comme la fille que tous croyaient craindre, même ici, je ne devais pas flancher. J’avais toujours tout fait pour me faire accepter, que l’on veille de moi. Mes mains, mes bras, tout mon corps se mirent à trembloter. Je n’arrivais plus à contrôler quoi que ce soit. Je mis mes bras autour de moi et me laissa tomber dans la poussière de la pièce. Je n’en pouvais plus, pourquoi est-ce que j’étais ainsi ? Comment pouvons-nous espérer devenir méchante ? Non, je n’étais pas méchante, en tout cas jamais je n’avais voulu le devenir. Mes yeux se fermèrent, je voulais que tout s’arrête, le temps, la vie qui continuait sans répit, je voulais une pause. Je voulais respirer, prendre le temps d’y voir claire. Adrian, Delilah, Leonie… STOP ça suffit, j’en ai assez ! J’en ai marre de toujours m’apitoyer sur moi-même. Je me remis sur pied, le pas chancelant, j’avançais jusqu’au premier chevalet que je vis. J’arrêtai de me poser des questions, sans quitter l’objet des yeux, je voulais que ça s’arrête. Je voulais revenir comme avant. Je voulais être Jezabel, celle que tous veut être, celle que l’on croit forte, inaccessible. J’étais toujours cette fille, je n’avais pas changé, j’étais toujours là-même. Mais alors pourquoi pleurais-je dans mon coin ? Pourquoi ? POURQUOI ?!

La douleur dans mon pied arriva tranquillement, le chevalet était déjà loin, allant s’écraser contre le mur dans un bruit cacophonique. J’en avais marre qu’on m’ignore, j’en avais marre de ne rien contrôler, d’espérer des choses inaccessibles, de vouloir à tout coup être quelqu’un que je n’étais pas. Je renversai la table, envoyant valser peintures, pinceaux, ancres, crayons. Je lançai une chaise contre le mur, me retournant cherchant quelque chose à briser. Des chevalets encore ses maudits objets qui s’étendaient dans le reste de la salle dans un ordre inconnu. Je veux de l’ordre. DE L’ORDRE ! Je pris une chaise qui se trouvait « encore » à mes côtés en la lançant de toutes mes forces vers les fonds de la salle, accrochant en même temps plusieurs chevalets qui tombèrent à la renverse. Je continuais dans la foulée, renversant les bureaux, donnant des coups de pieds à chaque chaises ou chevalets que je croisais. Cette classe, elle n’avait pas raison d’être. Plus vite elle serait détruite, mieux ça sera. Je n’arrivais plus à me contrôler, détruisant tout de ce qui se trouvait dans la salle. Mes mains me faisaient mal, mais je m’en fichais. J’aimais détruire, je voulais continuer, oublier ce que j’avais fui en venant ici et pouvoir enfin me défouler.
Je regardai l’armoire dans le fond de la salle. Des appareilles photos moldus y résidaient, je n’avais pas d’aversion pour les non-sorciers, mais je n’avais jamais compris la fascination que les sorciers pouvaient avoir sur ce peuple préhistorique… Je la regardai sans réagir, comme hypnotiser par cet objet de bois et de verres. J’oubliais le carnage que je venais de faire, mes mains écorchés et mon corps encore tremblotant. Je m’avançais tranquillement, comme si j’avais peur que l’armoire s’enfuît. Je me retournai vivement, cherchant une présence derrière moi. Le sol était tâche d’ancre noire qui se rependait rapidement, mais j’étais aussi seule qu’à mon arrivée. Je reposai mon regard sur l’armoire et l’examina plus proche. Dans sa grande vitre, une forme féminine, un peu comme une ombre y reflétait. Qu’est-ce que c’était ? Je m’avançai pour mieux voir. C’était bien une femme aux cheveux bruns, les contours était floue, mais son visage semblait doux et reposer. Seulement, lorsque je croisai ses yeux, je perdis l’équilibre et dû prendre quelques secondes pour m’accrocher à quelque part. Mes yeux, la seule partie de mon don que je ne contrôlais pas, pris instinctivement la même couleur que l’esprit qui se trouvait dans l’armoire. Avouons le drôle d’endroit choisi pour faire sont apparition… Ces yeux ténébreux reflétaient le mépris, la colère et un million émotions que je n’arrivais pas à capter. Il était pénétrant, comme s’il vous n’étiez qu’un livre ouvert devant elle.
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Message Posté Mer 10 Aoû - 13:38.

intervention

la sagesse d'athéna.


D'un coup, d'un seul, Athéna ouvre les portes de l'armoire. Magie toute puissante avec qui personne ne peut rivaliser. Elle regarde Jezabel, impétueusement. Prunelle arrogante et lumineuse. Comme si elle attendait quelque chose. Une révérence, peut-être ? Ou une offrande, qui sait... Troublée par le silence de la jeune femme, elle lui demande de se lever. Voix sèche, froide, détachée, mais qui a quelque chose de maternel. Le silence qui vous unit est pénible, c'est pour ça qu'elle décide de le briser.

    Jeune impertinente... C'est à cause de personnes comme toi que mon écurie n'est plus ce qu'elle était. Ne sais-tu pas qui je suis ? Ne me reconnais-tu pas ? Insolente... Dis moi au moins pourquoi as-tu troublé ma tranquillité ? Je sens, dans ton regard, une tempête d'inquiétude...





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Message Posté Lun 29 Aoû - 3:51.
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La femme sortie de l’armoire d’une démarche impressionnante. Elle dégageait une sorte d’aura étrange, impossible de détourner les yeux. J’admirais sa beauté naturelle, ses cheveux se baladaient dans un vent qu’eux seule connaissaient la nature. Je reculais d’un pas, cette femme qui ressemblait en tout point à la déesse Athéna me regarda d’un air dur et impitoyable. Me démontrant que je n’étais personne face à elle. Effectivement… comment pouvais-je rivaliser quand nous avions une déesse devant vous, comment réagir ? Après un moment de silence, celle-ci le rompait en me demandant si je savais qui elle était. Personne ne pouvait ignorer cette puissance et se visage. Mon écurie portait son nom, comment pouvais-je me demander qui elle était. M’accusant d’avoir déshonoré son nom, son écurie, je me surpris à me fâcher à cette remarque. Je n’étais pas ma sœur, parfaite en tout point. Non, je n’étais que moi-même avec un tas de défaut, mais en rien je ne déshonorais mon écurie. Il fallait que je dise quelque chose, mais Athéna ne m’en lassa pas le temps, reprenant la parole exigent des réponses que je n’avais pas. En aucun cas je n’avais voulu de cette femme. Je ne savais quoi dire. Je voulais être seule et qu’est-ce que j’avais ? Un fantôme qui m’accusait d’avoir « troublé sa tranquillité ». Vous n’êtes peut-être pas au courant, mais vous dérangez aussi ma tranquillité, madame. Heureusement que je n’avais pas des pulsions suicidaires et je décidais de garder ses réflexions pour moi-même. Une tempête d’inquiétude… je dirais peut-être un typhon, un ouragan ou même un temps apocalyptique d’inquiétude. J’ignorais comment la déesse m’était apparue et surtout… pourquoi moi ? Il y avait un tas de personnes mieux disposé que moi pour gérer une telle apparition. J’étais déboussolée, l’attaque de l’organisation m’ébranlait encore, je n’avais pas la tête à m’occuper d’un fantôme. Seulement, ce n’était pas n’importe quelle apparition, c’était une déesse, un mythe qui venait d’apparaitre pour demander des explications. J’avais besoin de temps, de rassembler mes idées, de savoir comment réagir. D’analyser la situation. Je reculais encore d’un pas. Était-elle vivante ? Pouvait-elle me faire du mal ? Je n’en avais aucune idée et la pensée qu’elle me tue pour l’avoir dérangé me traversa l’esprit. Il fallait que je parte, que je m’enfuisse de cette situation improbable. Je regardais autour de moi, cherchant la place où je m’étais évanouie. Je cherchais mon corps. Car c’était impossible qu’Athéna soit réellement devant moi, en chair et en os (enfin, peut-être pas de cette consistance, mais quand même). Je devais rêver ou même délirer, avoir une sorte de rêve divinatoire étrange. Je me répétais mais c’était impossible ! Im-pos-si-ble qu’Athéna soit devant moi. Je n’arrivais plus à réfléchir, mais je devais faire quelque chose. La dame attendais une réponse et le temps que j’arrive à prononcer quelque chose, elle allait surement s’énerver, voir pire me tuer. Ma conscience, utile pour une fois, m’obligea à respirer et à me ressaisir. Je devais lui poser des questions, comprendre la situation qui se passait à Beauxbâtons. Sur l’organisation ? Sur les joyaux volés ? Sur la présence des dieux à l’école peut-être ?

- Je n’arrive pas à comprendre. La grandeur de la classe fit de l’éco à ma phrase que j’avais formulée inconsciemment. Je devais penser trop fort pour que je dise à voix haute ce qui se passait dans ma tête. Pourquoi êtes-vous là, dis-je toujours aussi déboussoler. Mais bien vite je compris que je devais dire quelque chose d’autre.

-Je veux dire, pourquoi les dieux sont revenus dans l’école ? Est-ce que cela à un lien avec les joyaux ou même l’organisation ? Murmurais-je doutant de ma question.
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Message Posté Jeu 1 Sep - 23:09.

intervention

la sagesse d'athéna.


Au début, elle était intéressée par tant de curiosité. Mais deux mots l'ont fait sursauter. Athéna, la juste, dont la chouette docile se pose sur son épaule, prend ces soupçons pour des affronts. Le sol commence à trembler sous l'effet de sa colère.

    Les joyaux ? C'est toi qui nous les a volés ? Jeune insouciante ! Pourquoi me parle-tu de ces pierres ? Jamais, jamais il ne faut qu'elles tombent entre de mauvaises mains, tu m'entends ? Leur magie est bien trop puissante. Dévastatrice ! Un pouvoir immense, horrible... J'espère pour toi qu'ils ne possèdent pas la tiare...


Elle s'embrouille. Elle implose. Ses paroles sont décousues, puis elle se calme. Sèche, froide. Elle te regarde.


    Tout ce que tu dois savoir, c'est que nous ne sommes pas revenus de notre plein gré. Seul un enchantement ancien permet de nous appeler ici. Ce sort est tenu secret depuis la fondation de l'Académie. Il est protégé par les gobelins...





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Message Posté Lun 5 Sep - 17:50.
DP : Dominus considère la mission comme réussie puisque Jezabel a réussi à découvrir que le retour des dieux est lié, de près ou de loin, aux gobelins. Néanmoins, Tu peux poster pour essayer d'en savoir un peu plus sur le retour des dieux à l'académie, Dominus te répondra alors une dernière fois. Tu fais gagner 100 points à Beauxbâtons et remporte 25 points RP !
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