VULNERA SAMENTO FERME SES PORTES ▲
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[PM] A hurricane, sometimes the only way to wash away the pain (Romaid)
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
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Message Posté Dim 23 Fév - 11:43.
titre du rp ici
citation qui va avec pour faire joli lolilol hihi


informations particulièrement pas importantes
ϟ dénomination courante des participants ▬ Mermaid & Roméo.
ϟ étiologie du statut subjectif ▬ Private.
ϟ datation approximative du moment exact ▬ Durant le mois de Mars au moment de la prise du marché noir
ϟ cadran lunaire appréciable ▬ Eh beh au moment de la prise xD
ϟ météorologie sorcièrement acceptable ▬ Temps moche, as usual.
ϟ saison saisissante et palpitante ▬ S3
ϟ intrigue globalement intriguante ▬ Je sais plus [PM] A hurricane, sometimes the only way to wash away the pain (Romaid) 978460
ϟ chatiment divin exigible ▬ Non merci o/
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Message Posté Dim 23 Fév - 16:00.
Il supportait de moins en moins cette école. Pourtant, il ne s’était jamais senti aussi bien qu’à Beauxbâtons. Mais tout ce qui arrivait avec la nouvelle république le rendait malade… Savoir que Mermaid en était réduite à être une moins que rien à cause de son hybridité le rendait chèvre. Il avait envie d’aller gueuler sur le bureau de Pritchard pour lui remettre les vélos à l’endroit. Mais qui était-il ? Certes, les Saint-Amant étaient connus dans le monde magique, mais pas lui et à cause de sa télépathie, il devait se faire discret avant d’être enrôlé sous les ordres de Pritchard ou d’être mis à Azkaban avec d’autres pauvres fous. Il devait veiller sur Mermaid. Elle avait déjà perdu Liam et elle était enceinte. Ça en rajoutait suffisamment à sa peine, surtout qu’il savait qu’elle se faisait un sang-d’encre pour sa petite sœur. Il y avait de quoi en même temps. Faire partie de l’élite… la pauvre. Il était en chemin pour la hutte, il avait pu aller au village prendre des pâtisseries et des chocolats pour lui remonter un peu le moral, mais il se stoppa en voyant du mouvement vers les jardins de l’académie. Sans perdre de temps, il se rua là-bas pour voir ce qui se tramait, bien planqué derrière un arbre. Il laissa tomber sa barrière mentale afin de prendre plusieurs pensées même si tout était anarchique. Il avait réussi à comprendre que le marché noir avait été découvert par l’élite et que les gens allaient être dans la merde. Il soupira un moment en regardant la scène. « Foutu gouvernement de trolls hystériques et bons à enfermer… » Il grogna en tenant fermement le sachet avec ses cadeaux pour la belle blonde. Il allait s’éloigner de tout ça lorsqu’il entendit un cri et la formule interdite… Ils venaient vraiment de tuer quelqu’un ? ça allait trop loin… beaucoup trop loin. On ne comptait plus le nombre de morts dans le monde sorcier… Mais cette fois-ci, ça se passait dans le cœur même de leur école. Il tourna alors sa tête vers la hutte… Si Mermaid apprenait qu’il se passait quelque chose comme ça, elle irait sûrement au-devant du danger pour s’assurer que sa sœur n’avait rien… Mais les sorts fusaient, il voyait bien les éclairs jaillir de partout. Il se mordit la lèvre avant de courir vers la rivière. Hors de question qu’elle se mette en danger, il préférait encore qu’elle lui en veuille ou qu’elle ne l’envoie là-bas, mais pas avant de la mettre à l’abri, peu importe ce que l’école allait en dire. Il arriva et fit en sorte de ne pas se faire repérer en restant loin des fenêtres et aux vues possibles. Il se mit dans un coin de la hutte et sortit sa baguette, lançant tout un tas de sortilèges de protection autour de la cabane pour être sûr que rien ne puisse arriver jusqu’à eux. Depuis la mort de Liam, Mermaid avait du mal à reprendre pied et il savait qu’elle tenait bon à cause de sa petite fille à naître. Il s’en doutait et il devait agir comme un homme pour elles. Peu importe les conséquences. Il avait tellement envie de l’emmener loin d’ici, loin de tout ça. Mais il savait qu’elle ne quitterait pas l’académie. Il resta un moment dehors, vérifiant que ses enchantements avait bien fonctionnés, elle ne pouvait plus voir l’échange de sorts au loin comme ça. Il vint toquer à la porte et entra comme à son habitude. Il déposa les gâteaux sur la table et alla s’occuper du feu avant de la voir assoupie. Il vint vers elle, rassuré d’un côté et lui caressa la joue doucement, il n’avait pas la foi de la réveiller. Il se posa dans le fauteuil pas loin d’elle, livre en main surveillant la fenêtre en priant pour que tout aille bien. Quand il put commencer à distinguer des pensées chez la blonde, il se leva et commença à mettre de l’eau à chauffer pour lui faire un bon thé chaud. Quand elle ouvrit les yeux, il eut un sourire tendre. « Bonsoir Marmotte… » Il mit l’eau à chauffer et prépara les tasses et les gâteaux avant de venir vers elle pour l’aider à se redresser. « J’ai préparé le goûter. »
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Message Posté Lun 31 Mar - 22:28.
Liam était là. À quelques pas de la berge, alors que j’étais sous ma forme de sirène, dans la rivière, à tenter de me détendre, de me libérer l’esprit. Mais c’était sans compter sur le retour du père de ma future fille, que j’avais bien cru mort. Coupable ? Enrôlé dans tout ça sans le vouloir ? Comment pouvais-je le savoir sans même une note de sa part pour me prévenir, me rassurer ? Je n’avais pas voulu croire qu’il était un traître, avec tout le bordel de monsieur X ou qu’en savais-je. J’avais refusé. J’avais espéré. J’avais douté, oui. Mais il se tenait là, avec une allure dont je tairais le nom. Allait-il me tuer ? M’avouer le côté sombre de sa vie ? Si je n’avais pas discerné un faible rictus voulant se transformer en sourire timide ou gêné, j’aurais pu y croire. Quel homme sain d’esprit se trimballait dans cet accoutrement, sans passer par une douche ou un changement de vêtements ? Le genre à vouloir me voir directement. Et je ne pouvais croire que c’était dans l’unique but de me rayer de la liste des vivants. « Salut… » Il ne m’en fut pas plus pour arriver à distinguer de la culpabilité dans son regard. De la peur peut-être aussi, quant à la réaction que je pouvais avoir sur ce retour. Sans réfléchir davantage, je me hissai sur la berge, aidée de mes mains et de la poussée de ma nageoire. J’attrapai son t-shirt et l’entrainai avec moi dans l’eau. Le remontant à la surface, j’entourai son visage de mes mains pour finalement l’embrasser. Tous ces derniers jours ne comptaient pas. Il était là, et nous allions construire notre famille, comme nous nous l’étions promis. Je finis par me détacher de lui ; plantant mes yeux dans les siens, je souris. Il n’y avait rien à dire, même s’il me devait des excuses. On avait tout le temps. Mais alors que je pensais à ce fait, je fronçai les sourcils. Quelque chose n’allait pas. Je fus soudainement arrachée à lui, à l’eau, par une gigantesque main invisible, et me lâcha sur la terre ferme. Poussant un cri, je me redressai sur ma nageoire pour me traîner jusqu’à l’eau. Mais je ne pus y retourner ; un champ de force m’empêchait de retourner auprès de Liam. Mes poings frappant sur ce bouclier, je fus contrainte à regarder le père de mon enfant se faire tirer sous l’eau, se noyer, ne pas remonter. Liam m’avait été enlevé. Je secouai la tête, pleine de larmes, refusant d’y croire. Non, j’avais déjà vécu quelque chose de similaire, ce n’était pas possible. C’est là que j’entendis du bruit, mais qui n’allait pas du tout avec le décor. Et puis une pression sur ma joue. Quoi encore ? Prenant une grande inspiration, je me rendis compte que je rêvais. Que je n’aimais pas cet état à moitié endormi… Ni les rêves de ce genre que j’avais trop régulièrement depuis la mort de Liam. Oh non, il n’était pas mort le jour où il était revenu de sa cavale imposée… ma tête se jouait simplement de moi, encore et encore. J’entendis du mouvement, du frottement, des bulles… Remuant ma tête, je refusai d’ouvrir les yeux. Si mes cauchemars étaient atroces, la réalité me rappelait toujours brutalement que Liam n’était réellement plus là. Mais je ne pouvais éternellement fuir l’évidence. Oh, je savais bien que j’avais le droit à mon temps, faire mon deuil, accepter que ma fille n’aurait pas de père, tout ça… mais on avait déjà sous-entendus qu’il fallait que j’avance, pour mon bien. Comme si c’était facile… ça ne faisait même pas trois mois. Je finis par consentir à ouvrir les yeux après quelques minutes passées à me remettre les idées au clair. « Bonsoir Marmotte… » Je levai un sourcil et me redressai quelque peu ; Roméo était là, affairé dans ma cuisine. Je laissai un faible sourire se dessiner sur mes lèvres. « Hey… » Il revint vers moi pour m’aider à me redresser pleinement. C’était que je commençais à faire mon poids, à six mois déjà, de grossesse… Enfin, je n’avais pas fini de grossir. Dans trois mois j’allais être une baleine, sans mauvais jeu de mots. J’étais certaine qu’Eva se serait foutue de moi si les circonstances n’avaient pas été les mêmes. « J’ai préparé le goûter. » Le goûter. Rien qu’à l’évocation de ce mot, mon ventre se mit à gronder. Un coup d’œil vers la table me permit de constater que Roméo n’avait pas fait les choses à moitié, à en juger par les sacs. « T’aurais pas dû… » Je me sentais coupable du souci qu’on se faisait pour moi, des attentions multipliées à mon égard. Enfin, Roméo avait toujours été comme ça, et j’appréciais énormément ce qu’il faisait pour moi. J’avais juste… du mal à m’y retrouver. Je tendis une main pour l’inciter à l’attraper afin de me hisser hors du canapé, l’autre main sur mon ventre. Il pointait vraiment bien, celui-là. Ah ça, pour me dire que la petite était là, je ne manquais pas de l’oublier. Je me rendis jusqu’à la table avant de m’asseoir sur une chaise – quelle vie passionnante. « Oh ! » Je posai une main sur mon ventre, puis lâchai un petit rire. C'était la symphonie des coups de pieds. « Je crois qu’elle essaie de me dire qu’elle a faim. » A sentir l’odeur de ce qu’avait apporté Roméo, c’était bien normal…
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