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Jeu, set et match {Liora}
ϟ you belong to the world, and when it screams your name back, don't pretend you don't hear it.
Amadeus Debussy
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Message Posté Jeu 11 Oct - 12:55.



i wanna live like music, rolling down the streets.
hey looking at you i wanna take you to the back of the room..

★ noms des participants: Liora et Amadeus.
★ statut du sujet: Privé
★ date: 11 Octobre
★ heure: aux environs de 16hoo
★ météo: Ciel dégagé, brise fraîche
★ saison: 2
★ numéro et titre de l'intrigue globale en cours: 2X02
★ numéro et titre de l'intrigue en cours:  2X02
★ intervention de dominus:  Non
★ récompenses:  // 





Amadeus Debussy
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Message Posté Jeu 11 Oct - 15:19.
Ces derniers temps me laissaient en bouche un goût âcre et acide, faisant planer au-dessus de ma tête des montagnes de déboires, déconvenues et autres désillusions qui à défaut de me faire fléchir ne faisaient qu'éveiller en moi une personne nouvelle. Prompt à me remettre rapidement de ce que le destin avait prévu pour moi, j'avais décidé de ne pas ployer et de me battre pour mieux y résister ; quitte à devenir quelqu'un d'autre, quitte à laisser parler l'insouciance et ne plus agir en fonction de ma raison, quitte à me perdre dans les affres de ma nouvelle débauche. Je ne savais plus si j'étais préoccupé par la fulgurante ascension de Virgile Rubens, l'anxiété secouant les membres soudés de la confrérie de Beauxbâtons, ou le tourment qu'avait semé Delilah en mon palpitant depuis que notre idylle n'était plus. Tout ce que je savais à présent, c'était que deux choses suffisaient à apaiser ces assauts souffreteux m'assaillant de plein fouet : la sacro-sainte musique de mon violon, et la lubricité. Fait nouveau et relativement étonnant de la part d'un jeune homme s'écoeurant habituellement sur les aventures d'une nuit, j'avais pourtant trouvé entre les cuisses des demoiselles ce réconfort, ce soulagement, cette cicatrisation des plaies du coeur qui ne duraient certes que le temps d'une étreinte charnelle mais qui avaient le don de m'apaiser. Seulement pour une nuit, et pour laisser le lendemain mon corps et mon esprit en pâture à la tristesse morne mais cinglante qui me tiraillait de l'intérieur, jusqu'à me trouver une autre amante de passage. Aujourd'hui cependant, j'avais décidé qu'un peu de sport viendrait vider mon esprit, aussi invitais-je Artémis à me rejoindre pour une partie de tennis ; depuis que l'Hypnos et moi-même avions tissé une amitié incongrue mais réelle, il était devenu mon confident le plus proche et le plus apprécié. Un miracle lorsque l'on savait que jusque là nous étions loin d'être en de bons termes, bien que le respect avait toujours été de mise. Ma tête brune passa par l'encadrement de la porte de sa chambre, regard brun braqué sur le jeune homme en pleine réflexion ce qui me poussa à l'interloquer : « Laisse-tomber tes devoirs, viens plutôt faire une partie. » Un sourire narquois sur le visage et je passai le seuil de la porte sous les yeux presque amusés de l'Hypnos, lequel se contenta de secouer la tête avec virulence. Tant pis, puisque monsieur s'avérait être meilleur bosseur que joueur de tennis alors je m'enquerrais d'un autre partenaire de jeu.

Ce fut finalement accompagné d'un autre Hadès que je me rendis sur le terrain de tennis, raquette en main et attirail du sportif se couvrant néanmoins sous la bise froide d'un climat venteux. Mais à peine quelques mots échangés sur la qualité du terrain où nous mîmes les pieds, et j'accrochais une silhouette qui m'était plus que familière : Liora, demoiselle que je considérais ouvertement comme une ancienne amie, nous tournait le dos car visiblement affairée à autre chose. Sentant mon palpitant se gorger de colère et ma raison annihilée crier vengeance, je n'avais de cesse de l'observer à la dérobée comme dans cette volonté de l'abattre par la seule force de mes pupilles. Une haine farouche qui vint crisper ma mâchoire et allumer dans l'âtre fauve de mes pupilles un éclat si assassin que mon partenaire en fut étonné : « Qu'est-ce qu'il se passe avec Liora ? » Question d'apparence bénigne qui ne fit qu'attiser d'avantage les flammes haineuses de tout mon être engourdi par la colère. Aussi ce fut un sifflement glacé et glaçant qui s'échappa de mes lèvres sanguines ; jamais on ne m'avait vu d'humeur si meurtrière. « Rien. » Mensonges et vérités, car depuis l'horreur qu'elle avait fait vivre à Hayleen, depuis cette promesse solennelle faite à la Poudlarienne de la venger, il n'y avait plus rien qui ne soit encore vivant entre Liora et moi : ni amitié, ni complicité, ni même un soupçon de considération. Elle n'était plus qu'une cible à abattre, victime de ma flamme vengeresse excessive et elle le paierait en conséquence. Pour autant l'ancienne amie ne pouvait être anéantie à l'état de rien, au vu de sa déconcertante facilité à agiter les soubresauts de l'animosité féroce en mon sein.

Je m'avançais donc sans jamais la quitter du regard, démarche assurée soutenue par cette raquette que je faisais tourner dans ma main avec dextérité. Mon partenaire avisa avec appréhension ma main plongeant dans une poche pour en récupérer une balle, laquelle je fis rebondir à terre avant d'effectuer mon superbe service.... pile entre les deux omoplates de la jeune Hébé. Et lorsque celle-ci se retourna avec surprise et indignation sous le poids de la douleur, je lui offris un visage sombre et méprisant. « Balle perdue. » rétorquais-je d'une voix suave et insolente. La prochaine fois, je viserais entre les deux yeux. « Un peu plus et c'était la nuque, j'aurais pu te tuer. Quel maladroit. »
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Message Posté Dim 4 Nov - 0:18.

jeu, set et match

Ce sentiment de solitude complète. Elle finit par vous mener à votre perte. On plonge dedans et on fait tout pour en ressortir la tête, mais au final, être seul n’est pas la solution pour atteindre le bonheur ? A chacun sa perception de la vie, du sens qu’elle peut ou doit prendre. Certains acceptent la solitude, ils apprennent à vivre avec et l’accueillent comme une vieille amie. Il y a ceux qui préfèrent prendre ce chemin, afin d’éviter toute attache avec autrui. Et ils restent ceux qui la subissent complètement, alors qu’il ne cherche qu’une chose : le contact humain. Ce sont des marginaux, ceux qui sont totalement incompris par les autres. Ils font des choix loufoques, que ce soit par leur tenue ou par ce qu’ils choisissent de fumer entre les cours. Liora n’était pas de ces personnes. Elle faisait tout simplement de mauvais choix. De trop mauvais choix, qui courraient à sa perte. Ou comment programmer sa chute sociale nous-même. Elle était le parfait exemple de la fille incompréhensible, qui elle-même ne comprend pas ses choix, qui elle-même les regrette mais ne l’exprime pas, parce que c’est plus simple d’être fière et d’avoir la tête haute. Comportement stupide qui l’enfonçait dans sa solitude. Hugo restait le seul à lui apporter son soutien, Jezabel était en Russie, et Amadeus … c’était compliqué, incompréhensible selon elle. Une amitié gâchée par la distance qu’instaurait l’Hadès. Ceux qui connaissaient Liora savait que son point de vue l’arrangeait toujours elle, les autres avaient toujours tort et devaient s’écraser, c’était ainsi et ce n’était pas près de changer. Comment pouvez-vous changer la pire pourriture du monde ? Avachie sur son lit, elle regardait son ventre, les sanglots s’emparant d’elle. Logan n’avait évidemment pas bien réagi, elle sentait encore sa main se plaquer contre sa joue, symbole de sa rage. Elle regrettait presque d’avoir été sincère, pour une fois qu’elle l’avait été. La scène se répétait dans sa tête et la rendait totalement folle. Qu’allait-elle faire avec ce bébé ? Allait-elle pourrir sa vie en le gardant ? Le choix n’appartenait pas qu’à elle. Liora devait juste faire preuve d’un peu de patience, le temps que Logan se calme, et surtout qu’il arrête de boire sans cesse. Ses mains venaient essuyer ses larmes. Elle tentait de comprendre ce qui clochait chez elle, ce qui ne tournait pas rond, il fallait juste lui rafraichir la mémoire…


___


Ses prunelles noisettes se relevaient. Un nouveau point qu’elle marquait. Décidement, les Zeus étaient nuls dans tous les domaines. Peu de personnes lui inspiraient le respect. Qui pouvait-être assez bien pour qu’elle s’intéresse à quelqu’un d’autre qu’à son nombril ? Blasée, la brune attendait, sa raquette à la main. Les jambes écartées pour assurer un meilleur appui, elle relançait la balle à son adversaire plaqua soudainement sa main sur son ventre. Encore une fois, ce mioche pointait le bout de son nez au mauvais moment. A l’intérieur, elle insultait son enfant. Mais l’Hébé se reprenait vite en souriant à son adversaire, excusant son malaise par une mauvaise digestion. Plus les jours passaient, plus elle détestait son enfant, plus elle se détestait d’avoir fait une telle connerie avec Logan. Si certains vénèrent les enfants et font tout pour le mettre au monde, elle n’avait qu’une envie : frapper son ventre jusqu’à perdre son enfant. Sa vie serait tellement plus simple sans lui. Elle reprendrait son cours normal. Du moins, un cours plus normal que celui qu’elle avait à ce moment-là. Pouvait-on parler de normalité dans le monde dans lequel elle vivait ? Non. Perdre son père et son cousin dans la même bataille, être tombée amoureuse de sa meilleure amie partie à l’autre bout de monde, voir sa famille adoptive partir en vrille, ne plus savoir où on en est et finalement coucher avec un garçon dans une soirée trop arrosée pour finir en cloque. Non, rien n’était normal, même en enlevant cette fâcheuse partie de sa nouvelle vie. Elle restait au fond du trou. Si son père la voyait… il aurait honte de la voir partir dans ce sens, de la voir prendre le mauvais chemin. Mais au fond, elle restait toujours celle qui partait à gauche alors que tout le monde choisissait la droite. Elle était la marginale d’une famille de bourges, tous pourris gâtés jusqu’au cou. Sa raquette à la main, elle laissait son ventre se calmer et se mettait sur le côté du terrain pour discuter avec une fille pour qui elle n’avait aucune sympathie, juste histoire de ne pas être seule et de ne pas attirer l’attention. C’était sans compter sur Debussy « Non je déteste son cours, il est… ». L’hébé fut coupée en pleine discussion, la main sur son dos, elle commençait à ressentir la douleur. Ce n’était certainement pas le moment de la chercher. Enceinte ou non, elle restait celle qui fonçait dans le tas, jusqu’à en faire perdre la vie, du moins ça elle l’ignorait encore. Elle faisait volte-face, et fixait Amadeus. Un sourire esquissé, elle attrapait sa raquette et la balle de Debussy qui était au sol. Un élan, elle lançait la balle. Loupé. Elle rageait intérieurement et commençait à marcher en direction de l’Hadès avec une détermination certaine. « T’as de la chance que je ne sais pas viser Debussy ! » Sa raquette à la main, elle parcourait le terrain en ne lâchant pas son ami des yeux. Qu’est-ce qui n’allait pas chez lui ? Ils ne s’étaient pas disputés, elle ne comprenait rien. Oubliés les maux de ventre, oublié le môme qu’elle allait mettre au monde, oubliée son adversaire trop nulle pour tenir une raquette correctement. C’était entre Debussy et elle que ça se jouait. Reste à savoir qui allait perdre la partie…



Spoiler:
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Message Posté Jeu 8 Nov - 23:46.
Le feu de mon regard ne daignait pas s'éteindre et s'embrasait de haine au contraire pour cette silhouette si familière. Autrefois si bonne amie, complice dans nos moments de joie, de silence et de douleur, aujourd'hui je la considérais comme une ennemie à éliminer car indigne de s'étendre dans mon champ de vision. Là où autrefois j'éprouvais pour Liora une amitié saine et sans fioriture je ne pouvais à présent m'empêcher de la toiser avec mépris, le venin au bord du coeur et la nausée sur les lèvres. De cette chaleur complice à la colère farouche et glacée, il en avait fallu beaucoup cependant : la main de Liora s'abattant sur Hayleen, intransigeante et froide sans jamais ne montrer de remords. Je n'avais eu de cesse de l'exécrer depuis, ce qui avait terni notre lien et abattu l'autel de notre tendresse pour n'en ériger que le fer blanc de ma vengeance ; car je m'étais mis en tête de lui faire payer coûte que coûte, et peu m'importait si les retombées vengeresses n'auraient lieu que dans un mois ou dans un an. L'important était qu'elle s'en morde les doigts, et la traitresse brune n'en était qu'aux prémisses de ma colère avec cette balle de tennis s'abattant durement contre son dos.

Je la vis alors s'avancer d'un pas décidé, regard fier et droit planté dans l'alcôve de mes rétines ambrées comme une moue dégoutée se dessina sur mon visage. Comment pouvait-elle ne serait-ce que me regarder et conserver pour elle une seule once de fierté ? Elle n'était à mes yeux que bassesse et lâcheté, aussi je ne concevais pas qu'il ne puisse luire dans son regard cette étincelle de honte à la hauteur d'un cou courbé par le déshonneur. Je n'acceptais pas son port altier, sa démarche sûre et son regard droit. Je la voulais rampante, suintant la pénitence et bouffée par les remords... En la voyant si assurée elle me débectait d'avantage, ce qui ne m'empêcha guère de m'avancer à mon tour d'une démarche leste. Trottait derrière moi mon compagnon Hadès qui jaugea la scène d'un oeil répréhensible, appréhendant la scène avec sagesse comme il sentait l'ai s'électrifier à mesure que nos pas nous rapprochaient l'un et l'autre vers le filet. « T’as de la chance que je ne sais pas viser Debussy ! » « Ama ! » Mon camarade m'attrapa aussitôt par le bras dans un élan si rapide que je le soupçonnais d'avoir anticipé ma réaction : colère au poing rabattu sur ma raquette et regard assassin, j'avais bondi d'un pas vers Liora non sans planter mon regard de braise dans les siens. Loup enragé qui ne désirait plus que lui sauter au cou pour lui faire ravaler sa langue et la faire payer, j'avais bien du mal à garder mon sang froid. Par amour pour Hayleen, je sentais couler dans mes veines bleues toute la hargne vengeresse et meurtrière qui se reflétaient dans mon regard haineux. « T'as pourtant bien réussi ton coup quand il s'agissait de viser Hayleen, pétasse. » Un sifflement sourd semblable à une brise polaire qui trancha l'air dans un claquement fougueux. Les ténèbres de mon regard s'étaient distillées dans le timbre de ma voix habituellement suave mais en l'instant polaire et cinglante. Enrobée de ciguë, piquée à la lourdeur du fer que je souhaitais croiser avec elle, je n'étais qu'ébullition des sens et aveuglement rougi par la haine. Finalement un sourire ourla les lèvres tandis que passa dans mon regard sombre un éclair provocateur ; esquissant quelques pas en arrière sans jamais la quitter du regard, j'ouvris grand les bras pour soi-disant accueillir une balle de son cru de nouveau. « Allez vas-y. Recommence ! T'attends quoi ? » Ce rictus persistant prenait des airs noirs et cynique, tant et si bien que nos camarades devenus spectateurs malgré eux nous toisaient à présent d'un air inquiet. Le silence s'était niché dans le creux de nos échanges électriques ; voyant que ma nouvelle ennemie ne comprenait en rien ma provocation, j'eus l'amabilité exemplaire de l'éclairer. « T'as peur de quoi, de me tuer ? Foutaises, ce serait pas ta première. » Moues interloquées dans l'assemblée, murmures brefs et mines blêmes. Je posais mes yeux sur l'assistance, certes peu nombreuse mais bien présente. « Quoi, vous ne saviez pas que Liora était une meurtrière en plus d'être une lâche ? » Timbre grinçant sous couvert de mon amertume glacée, et enfin je me retournais vers mon ancienne amie non sans m'en rapprocher de nouveau. « Je te ferais payer MacElroy. Tu lui as arraché son enfant, je t'arracherais jusqu'à la moindre parcelle de dignité jusqu'à ce que la seule envie qui te reste soit celle de te balancer au bout d'une corde. » Ces propos haineux sifflés par mes lèvres venimeuses eurent pour effet de soulever les coeurs de nos camarades inquiets, mais porté par ma colère farouche je ne parvenais plus à faire la part des choses. Ces menaces étaient pour moi moins terribles que légitimes.
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